Je suis Caroline, je suis née en Auvergne le 27 avril 1981, veille de l’anniversaire de ma maman.
J’ai grandi à la campagne, entre les veaux et les cabanes dans la paille. Ma première passion, l’enseignement, m’est venu dès le CE1, quand ma maîtresse m’a dit qu’un jour je serai aussi maîtresse ! On était 6 ou 7 mômes dans cette section, et à peine 30 dans toute l’école de 2 classes. Qu’est-ce qu’on était bien !
Et en effet, après un bac littéraire et une licence de droit, je suis finalement revenu à l’école : j’ai passé les concours de prof des écoles !
Mais après 10 ans, j’ai glissé sur la pente du burn out. Avec le recul, je me dis que le rythme et le fait que je n’écoutais absolument pas mon corps ont été la cause de ce mal être profond. Seulement à l’époque je pensais juste que j’étais une mauvaise enseignante, et une mauvaise personne qui n’arrivait plus à exercer un métier pour lequel elle s’était battue…
La vie m’a fait changé de région, au grès d’une mutation pour mon mari. Une fois en Bretagne : pas de poste pour moi, la belle occasion de prendre soin de moi et de mes enfants.
Alors dès 2015 je me suis formée, beaucoup. Aux réflexes archaïques et au Brain Gym dans un premier temps. Accompagner les élèves en difficultés était tellement important pour moi.
Puis à certains soins énergétiques, comme un besoin de nouer ou renouer avec mes capacités innées, celles dans lesquelles j’ai grandi. Ma mère m’a appris à conjurer le feu (ou barrer le feu) quand j’avais 21 ans et mon père magnétise et est rebouteux depuis toujours.
Finalement c’est en 2022 que je découvre Patrice Le Thiec et que je plonge dans sa formation de thérapeute. Le travail sur moi est énorme, challengeant, transformateur et oh combien révélateur de qui je suis depuis tout ce temps.
Ma pratique s’est donc affinée au fil des années. Aujourd’hui j’apprends aux personnes à traverser leurs ombres pour découvrir la lumière cachée derrière ! 😉
Mon objectif est finalement le même depuis toujours, même si les approches ont évolué : permettre aux humains que je rencontre de se sentir bien dans leur tête et leur corps, d’aimer qui ils sont.